Politique des cookies

L'OBLIGATION DE DÉCLARATION PRÉALABLE

Les différents projets nécessitant cette déclaration sont :

  • Les travaux d’extension, d’agrandissement, de surélévation ou d’emprise au sol inférieurs à 40 m2
  • La construction d’un mur avec une hauteur supérieure ou égale à 2 m
  • L’aménagement extérieur d’abris ou d’annexes avec création d’emprise au sol ou de surface de plancher inférieure à 20 m2 (abri de jardin, carport, garage, etc.).
  • La modification de l’aspect extérieur d’un bâtiment (changement de menuiseries, rénovation de toiture ou de façade, etc.)
  • La construction d’une piscine avec un bassin inférieur à 100 m2
  • L’installation de portail et de clôture

LA CONTESTATION DU PLU

Les moyens de légalité externe concernent entre autres l’incompétence de l’auteur de l’acte, le vice de forme et le vice de procédure.

Ce dernier peut être invoqué quand un acte administratif n’a pas été réalisé selon les procédures réglementaires. Cela peut concerner l’enquête publique, le défaut d’information des conseillers municipaux, les irrégularités relatives à la prescription de l’accomplissement du PLU, etc.

Les moyens de légalité interne concernent le non-respect des normes supérieures, le détournement de pouvoir ou l’illégalité relative aux partis d’urbanisme retenus. Ces moyens incluent également le caractère contradictoire des différents éléments du PLU ou l’erreur dans le choix de la procédure de changement du PLU.

Même si l’assistance d’un cabinet d’avocat au Barreau de Marseille est facultative lors d’un recours devant le tribunal administratif, les conseils de l’avocat contribueront à la recevabilité de votre contestation du PLU.

Les différents projets nécessitant cette déclaration sont :

  • Les travaux d’extension, d’agrandissement, de surélévation ou d’emprise au sol inférieurs à 40 m2
  • La construction d’un mur avec une hauteur supérieure ou égale à 2 m
  • L’aménagement extérieur d’abris ou d’annexes avec création d’emprise au sol ou de surface de plancher inférieure à 20 m2 (abri de jardin, carport, garage, etc.).
  • La modification de l’aspect extérieur d’un bâtiment (changement de menuiseries, rénovation de toiture ou de façade, etc.)
  • La construction d’une piscine avec un bassin inférieur à 100 m2
  • L’installation de portail et de clôture

Les 3 dominantes du droit de l'urbanisme

  • L’urbanisme réglementaire :
L’urbanisme réglementaire est constitué des servitudes ou normes d’utilisation des sols applicables aux demandes individuelles de construction ou d’aménagement. Il est adopté par l’Etat, les communes ou les établissements publics de coopération communale sur un territoire défini. Les principaux documents d’urbanisme sont les plans locaux d’urbanisme (PLU) et les cartes communales dans les petites communes.
 
  • L’urbanisme opérationnel :
L’urbanisme opérationnel regroupe l’ensemble des actions conduites ayant pour objet la construction de bâtiment, la fourniture de terrain à bâtir ou le traitement de quartier et immeuble existants. Ce dernier concerne la réhabilitation, la résorption d’habitat insalubre ou la recomposition urbaine. L’urbanisme opérationnel est constitué de 2 volets : maîtrise foncière et procédure d’aménagement.
 
  • Les autorisations individuelles d’urbanismes :
Les autorisations individuelles d’urbanisme sont des décisions administratives autorisant des projets d’aménagement ou de construction. Le maire peut les délivrer au nom de sa commune ou, à défaut, au nom de l’État. Les différentes autorisations individuelles d’urbanisme sont : le permis de construire, le permis d’aménager, le permis de démolir et la décision de non-opposition à déclaration préalable.